Catégories : Lesbiennes bondage SM entre filles calins fist kiss
il y a 3 ans
Une délicieuse histoire érotique LGBT
Moi, starlette? Oh, la, la! C'est vrai qu'on me dit "à croquer", "goûteuse", "canon", c'est selon. C'est vrai qu'a d o l e s c e n t e, e n f a n t même, j'en ai fait ! Mais maintenant j'ai mari et e n f a n t s. Cela ferait bien rire toutes celles avec qui et de qui j'ai joui fervemment, fougueusement. Non, les plaisirs lesbiens maintenant, c'est que pour les vacances. D'ailleurs l'hiver, y a pas assez d'occasions et l'ambiance n'y est pas.
L'été, au contraire, le camping, c'est mon terrain de chasse. J'aime faire l'amour sous une toile de guitoune, un auvent de tente, une couchette de caravane. Derrière une porte de douche, sur un siège de voiture, une paillasse de laverie. La nuit au milieu du sommeil de tout ces gens endormis. Pendant les bruits d'un repas qu'on prépare. Durant le silence des siestes. Tout près des cris des joueurs de pétanque.
Nue - personne n'en doute - nue dessous (un rien glissé sur la peau, juste un peu de tissu suspendu à deux fines bretelles) tout le temps, mais amène, gaie, cordiale tous les jours et pour tous et pour toutes partout : aux douches, à la toilette, à la lessive... Je pose mes nasses. Et j'en ai eu des amies de vacances. Le souvenir de quelques unes me trouble encore.
Cette allemande dans la splendeur de sa maturité et de ses cheveux d'or presque blancs, ex-entraîneuse de l'équipe féminine olympique de canoë-kayak, ex-championne nationale elle-même, qui me faisait caresser ses seins, formidables globes d'airain, interminablement au centre de sa caravane profonde comme un paquebot et hurlait si je touchais sa motte plantureuse et éclatée. J'étais impressionnée mais frustrée jusqu'au jour où elle se jeta sur moi et me traita avec une telle v i o l ence que, terreur et bonheur à la fois, je me donnais sans défense et sans retenue à ses exigences. Je devins, mentalement, sa séquestrée : pas un instant où je ne désirais sa bouche, ses mains, ses bras et l'éclat de ses yeux défiant mon regard et lui imposant sa loi. Je saisissais le moindre instant pour la rejoindre sinon je rodais autour de son installation dans l'attente d'un signe.
Il y a aussi cette fille arrivée sur la selle d'un motard, vrai clone de Hell Angel. Lente, languide, ondoyante, au regard dépoli qui me déclara sous les cordes à linge, d'une voix rauque et comme exténuée, qu'"elle mouillait pour moi" et qu'elle partagerait bien son joint dans sa tente. Réunies sous la toile, je lui avouais que je ne fumais pas. Elle me traita de conne et me dit que la fumette n'était jamais meilleure que pendant la jouissance sexuelle. Ce qui se passa ensuite m'en aurait convaincue si, le lendemain, bourrée d'amphétamines, elle ne m'avait dévastée, commandant aux manoeuvres des mêlées de nos - si divers - organes de plaisirs avec une lucidité éblouie.
Je pense aussi à cette espagnole majestueuse qui régnait au milieu d'une tripotée d'e n f a n t s et de tout jeunes petits-e n f a n t s comme une poule au milieu de sa volaille ou une cantatrice au centre de ses choristes. Son regard s'attardait sur moi, profond. J'y répondais avec une discrétion entendue et appuyée. Elle me fit comprendre que peut-être... si j'étais patiente. Commencèrent alors de délicieux manèges. Elle vint à la vaisselle elle-même. Blouse échancrée, négligemment boutonnée, manifestement elle n'avait pas de soutien-gorge. Une autre fois, c'est la porte de sa douche qui était restée baillante. Un soir, le rideau de sa cabine éclairée resta ouvert et elle passa nue, plusieurs fois dans la découpe du hublot. J'entrais dans ce jeu avec amusement, affection et bien vite émoustillée aussi. Le soir, à la nuit, je me fichais dans l'encadrement de ma porte, ma nudité découpée à travers ma nuisette par le contre-jour ménagé par la lumière de l'intérieur. Une autre fois, un mystérieux ballon vint échouer à ses pieds et j'arrivai, pressée et confuse, l'enlever avec une plongée vers l'avant qui ôta à ma mini-jupe tout devoir de décence. À L'épicerie du camp, je ne venais plus qu'en kimono ; derrière les rayons, nous nous croisions, nous nous frôlions et nous nous retrouvions côte à côte, devant les mêmes produits. La ceinture dénouée, son peignoir de bain n'enserrait plus que ses épaules.
Un jour enfin, son regard se transforma : illuminé de détermination, d'accord et d'adhésion. Cette nuit-là enfin, de l'auvent où je guettais, je la vis venir. J'allai à sa rencontre. Au bout de quelques pas, j'otai ma tunique, elle en fit de même pour sa robe de chambre,et, traînant nos linges, nous progressâmes l'une vers l'autre. Jamais je n'étreins une taille si étranglée entre un buste si munificent et des hanches si amples. Sous l'auvent d'un bungalow inoccupé, un banc de bois nous offrit toutes les facilités pour notre affaire. Elle était si électrisée que je pouvais à peine la toucher, juste l'effleurer. Du reste, le halètement de sa poitrine, l'animation de ses jambes, le rejet de sa tête me la dérobaient à tout travail de fond. Elle soutint cependant, exaltée, mes caresses qui mettaient ses tétons à la t o r t u r e . Dès lors, elle devint une amie prodigue en douceurs, en attentions bouleversantes.
Je n'ai pas oublié non plus cette jeune fille qui nous avait surprises un matin, une amie et moi, par l'entrebaillement de la porte d'une toilette, et qui, depuis, me tournait autour. Elle n'avait de seins que deux gonflements embrunis, des épaules d'e n f a n t mais son bassin et ses reins étaient pleins et rebondis. Sa fente était si nue que je lui coupai même les trois poils qui commençaient à y pousser. C'est dans les cabinets qu'elle s'exaltait le plus fort. Quand elle découvrit que le petit trou de nos derrières étaient aussi amis des plaisirs, elle devint une jeune amante délicieuse.
Et les deux belles-soeurs qui me draguèrent séparément et que je baisais alternativement ! Pour simplifier, j'organisai bientôt la confusion des rendez-vous. Il leur devint rapidement évident que deux bouches à l'oeuvre en même temps dans différents lieux où loge le plaisir soulevaient leurs sens à un point que plus rien ne retint leur décence.
Elles repartirent plus belles et plus soeurs que jamais.
Et cette yogiste, vieille militante du naturisme, du lesbianisme, de l'avortement, du pacifisme, du new-age du boudhisme qui était capable, avec son corps, des pratiques les plus époustouflantes, en amour des offrandes les plus pieuses et recueillies mais qui, devant le corps d'autrui (sa jouissance, ses emportements) montrait une crainte révérencieuse et une maladresse de surveillante de pensionnat et qui me prit plusieurs jours à entamer. Au point que, au final, je lui fis me donner le fouet. Elle frappait avec une science et une sûreté puisées autant à son intelligence du corps féminin qu'à un instinct enseveli et réveillé. Tordue, déjetée, écartelée sous ses coups, je demandais grâce. Elle me lançait : "Plus belle, plus belle encore !" Je fulminais, provocante et rompue de jouissance.
Et les obèses - il y en a de plus en plus - elles m'inspirent un appétit ! La chair dodue, potelée charnue, florissante épanouie c'est la chair puissance dix, opulente triomphante. Surtout chez les jeunes femmes en pleine explosion. Elles n'ont pas faim que de victuailles. Toujours angoissée de n'être pas désirées, elles sont les plus entreprenantes ? Luxuriantes et luxurieuses.
Et cette maghrebine, métisse emmenée dans l'équipage de ses employeurs marocains. Sans doute plus esclave que servante. Elle avait une allure d'antilope que n'entamait pas les tâches ménagères. Dans l'aire de séchage des linges lessivés, je disposais des draps en écran pour faire une cache où son corps de bronze, sur la blancheur des linges resplendissait. Ses doigts déliés par les travaux de tissage sous la tente mauritanienne me tiraient des vertiges, des lancements lancinants, la chair de sa bouche me noyait. Elle m'explorait avec un intérêt inextinguible. Elle foulait et frottait aux crins crépus de sa vulve, ma toison moussue et dans ses paumes blanches, mes bruns mamelons. Je lui laissais ses illusions et j'endurais un temps tous les caprices de la lubricité. Mais sa patronne s'alarma que l'art de la jeune nomade transformé, aiguisé par mes soins lui dispensât des plaisirs plus prononcés que ceux qu'elle avait l'habitude de tirer de son e n f a n t i n e domestique. Ses soupçons, sa jalousie et ses menaces terrifièrent la pauvre servante.
Je ne me doutais de rien quand elle me transmit l'invitation de belle marocaine pour une partie de thé oriental. La Mauresque fut si enjouée, ondoyante, insinuante - et ma jeune antilope si engageante et favorable - que je laissais venir ses approches et cédais sous ses pressions. Ses grands airs m'en imposaient, sa sévérité toujours à fleur de peau autant que ses cajoleries imprévisibles mais irrésistibles réveillèrent en moi la petite fille que le monde adulte subjuguait. Dès lors elle pensa avoir triomphé. Elle ne connaissait en vérité du plaisir que de fades et interminables gâteries qu'elle se faisait servir avec orgueil, mêlant l'ingratitude à la cruauté. Ce qu'elle méprisait en nous, en elle c'était la femme. Jusqu'à ce que je lui révèle que, dans sa jeune servante moricaude, il pouvait y avoir, à sa discrétion, un fougueux pasteur Peul capable de mettre en rut n'importe quelle génisse de son troupeau. Le gode dont j'avais équipé l'a d o l e s c e n t e lui fit découvrir ce qu'un mariage prématuré et un époux périmé lui avaient fait ignorer.
D'autres encore ? Sans doute, mais un petit vent frais qui sent septembre vient d'agiter toutes les toiles du village. Brutalement, comme un signal. Le moment de retourner à la ville est arrivé. Je ne connais qu'une chose pour accompagner ma détresse et ne pas assister aux préparatifs : me rencogner au fond de la caravane et me caresser éperdument.
Carmichael
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